Les nombres qui gouvernent l’organisation de notre système solaire sont-ils aléatoires ?

« Il semble qu’il y ait un mathématicien cosmique derrière toute cette organisation. […] Qu’une théorie mathématique puisse décrire le monde physique est un mystère fondamental.» Extrait d’un article tiré du Washington Times, 11 août 2005.

Robin Heath, Richard Heath et John Martineau, font partie des nombreux observateurs du ciel qui, au cours des millénaires, défendent l’idée qu’à la base de notre univers, se trouve une structure numérique.

Ils ont démontré qu’il existe de nombreuses relations numériques entre les planètes de notre système solaire et qu’il est difficile de les rejeter en les considérant comme de simples coïncidences.

C’est la raison pour laquelle John Martineau a décidé d’intituler son livre « A Little Book of Coïncidence »,  une sorte de titre parodique, qui remet en cause la notion même de « coïncidence » dans son étude des mouvements des planètes de notre système solaire.

Néanmoins, les faits que ces auteurs présentent sont négligés par les astronomes.

Nous pouvons cependant espérer raviver le sentiment de crainte et de mystère que nos lointains ancêtres ressentaient (et que j’ai également ressenti dans le désert du centre rouge australien), en observant les myriades d’étoiles du ciel nocturne, qui ont toujours eu sur moi le pouvoir de susciter de nombreuses et profondes réflexions philosophiques sur le sens de la vie et l’existence de Dieu.

Des sentiments similaires sont partagés par tout les astronautes qui contemplent la Terre de leur cabine spatiale.

Les scientifiques s’accordent néanmoins à dire que si la Terre tournait juste une infime fraction plus vite ou plus lentement sur elle-même, si elle se trouvait juste une fraction plus proche ou plus éloignée du soleil, si la Lune était positionnée différemment ou tournait autour de la Terre à une vitesse légèrement différente, alors la vie sur Terre ne serait pas possible. Tout est parfaitement équilibré.

Est-ce une coïncidence ?