jingjin 經筋

Dans le chapitre 13 du Lingshu, C. Milsky et G. Andrès traduisent jingjin par “tendons des méridiens”.  L’article Jingjin du Grand Dictionnaire de la médecine chinoise (Beijing, 1982) dit:

« D’après le chapitre Jingjin du Lingshu, les tendons du corps humain, tout comme les douze méridiens, se divisent en douze parties : les tendons taiyang de pied, shaoyang de pied, yangming de pied, taiyin de pied, shaoyin de pied, jueyin de pied, taiyang de main, shaoyang de main, yangming de main, shaoyang de main, ministre du cœur de main, shaoyin de main. 

Les tendons se réunissent (hui) aux articulations, c’est pourquoi Ies endroits où passent les jingjin, bien qu’étant en majorité les mêmes que ceux où passent les jingmai, sont les endroits où les nœuds sont nombreux. Ces nœuds se trouvent en majorité dans les creux et les vallées des quatre membres. 

Les 12 jingjin remplissent les fonctions de relier les articulations des quatre membres, de lier ensemble le corps entier (weiluo zhou shen) et de régir les mouvements des articulations. Leurs affections se manifestent dans la plupart des cas par des douleurs, des blocages, des contractures, et d’autres symptômes d’obstruction du mouvement ».

筋 Jīn signifie tendon. Ce terme est composé de  ⽵ (zhú) ‘bambou’, de ⽉⾁ (ròu) ‘chair’  et de ⼒ (lì) ‘force’.

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